En réservant par internet et en payant 4 euros supplémentaires par billet pour avoir un coupe-fil, nous avons évité facilement trois heures de queues pour pouvoir entrer dans les musées.
C’est le point de passage obligé pour les visiteurs de Rome.
Leurs immenses richesses artistiques, fruit de siècles de collections et de commissions papales, offrent une expérience à l’occasion de laquelle l’importance des œuvres exposées est amplifiée par la beauté des structures qui les contiennent, et qui souvent constituent finalement l’intérêt majeur et le véritable but de la visite.
On ne traverse pas des salles conçues pour permettre aux innombrables amateurs contemporains de voir le plus efficacement possible, une collection d’objets artistiques, mais on parcourt plutôt des couloirs et des salles de palais papaux, autrefois destinés à quelques élus.
Les musées offrent aussi une grande variété de collections, notamment d’art grec et romain dont le Vatican possède la plus grande collection au monde, d’art égyptien, étrusque et naturellement les grands chefs-d’œuvre de l’art de la Renaissance avec les fresques des Chambres de Raphaël et celles de la Chapelle Sixtine.
Chacun doit se faire son idée des musées et de la Chapelle Sixtine. Beaucoup nous avaient vantés la beauté de la Chapelle et la magnificence des peintures de Michel-Ange.
Pour ma part, je n’ai pas apprécié cette visite. Trop de bruit, pas de mise en lumière des peintures qui pourrait pourtant leur donner plus de beauté encore et faire éclater les couleurs. Au final, j’ai été perturbé par les cris des gardiens qui répètent inlassablement “no photo, no pictures” et qui m’empêchaient d’écouter les commentaires et la description de l’audio guide !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire