Ce que nous faisons aujourd'hui, ce que nous avons fait hier, ce que nous ferons demain, nos voyages, nos sorties mais aussi nos coups de coeur et nos coups de gueule. C'est le blog de notre vie au quotidien...
jeudi 19 novembre 2009
Supporters français... le déshonneur
mardi 17 novembre 2009
Le Président passe…
Bientôt l'illumination des Champs Elysées...
dimanche 15 novembre 2009
L’atomium
Pas de visite de Bruxelles sans passage par l’Atomium. Le vestige de l’exposition universelle de 1958 et aussi le monument phare de la Ville. L’Atomium représente la maille élémentaire du cristal de fer agrandie 165 milliards de fois.
Contrairement à une croyance populaire largement répandue, les neuf sphères représentent seulement les neuf atomes constitutifs du cristal de fer et ne sont qu'une coïncidence avec la division de la Belgique en neuf provinces.
La construction de l’Atomium fut une prouesse technique. Sur les neuf boules, six sont rendues accessibles au public, chacune comportant deux étages principaux et un plancher inférieur réservé au service. Le Tube central contient l’ascenseur le plus rapide de l’époque (5 m/s), il permet d’accéder au sommet (102 mètres) en 23 secondes. Les escaliers mécaniques installés dans les tubes obliques, comptent parmi les plus longs d’Europe. Le plus grand mesure 35 m de long.
Le chocolat belge
Le chocolat belge est une spécialité gastronomique de la Belgique. Les belges consomment en moyenne 8 kilos de chocolat par personne et par an.
Ici une fontaine géante de chocolat liquide…
Saint-Nicolas a fait son apparition dans les vitrines des chocolatiers. Saint Nicolas, saint patron et protecteur des petits enfants et de la Lorraine est fêté tous les 6 décembre, surtout dans l'est de la France et dans le nord ainsi que dans de nombreux pays d'Europe. La légende du Père Noel a été crée à partir du personnage de Saint Nicolas. C'est en quelque sorte l'ancêtre du Père Noel.
Promenade dans Bruxelles
En ce dimanche après-midi, nous retournons sur la Grand place en passant par le palais royal et la bibliothèque nationale.
La ville de Bruxelles, après les Jeux Olympiques et avant l’Exposition Universelle de Shanghai 2010, offre durant quatre mois au public européen une immersion dans la culture chinoise, au-delà des clichés persistants, pour y trouver ce qu’il y a de plus authentique et de vraiment artistique comme cette sculpture de lampions qui recouvre un bâtiment de la ville et le transforme en palais traditionnel aux couleurs rouge et jaune.
Musée Magritte
samedi 14 novembre 2009
Faire les poubelles...
Ce soir, du homard...
Détente à l'hôtel
Jeanneke Pis
Beaucoup moins connue et plus difficile à trouver, nous sommes allés voir Jeanneke Pis.
C’est une statue et une fontaine d'environ 50 cm, pendant féminin du Manneken-pis, située de l'autre côté de la Grand-Place de Bruxelles. Ce n’est pas du meilleur gout mais bon…
Elle est située dans une petite ruelle nommée l'impasse de la Fidélité près de la rue des Bouchers. Alors que son illustre frère a des origines anciennes, cette statue est une pure création à but commerciale érigée à la demande des commerçants du quartier; Elle fut commandée en 1985 et inaugurée en 1987.
Les gaufres de Bruxelles
Visite de Bruxelles
La coutume veut que l'on offre un vêtement à la taille de la statuette. Toutes sortes de costumes ont ainsi été offerts à Bruxelles, en particulier par des diplomates ou des responsables d'association ou des politiques de toutes origines. Ce soir, le Petit Julien est paré d'un vêtement blanc et bleu... C'est pour rappeler la journée nationale de Lutte contre le Diabète.
Exposition Controverses
Elle a suscité des débats passionnés qui se sont souvent terminés devant les tribunaux.
L'exposition soulève par l'image plusieurs questions : la véracité d'un message, l'authenticité d'une photographie, les droits d'auteur, la conscience professionnelle, le pouvoir des images...
L'exposition s'ouvre sur des clichés apparemment inoffensifs : portraits du mime Debureau par Nadar, du comte de Cavour ou d'une enfant travaillant au champ. Pas d'images " choc ", contre tout attente... En réalité, cette entrée en matière est une mise en garde : il ne faut jamais sortir l'image de son contexte. Car ces tirages, aussi anodins soient-ils, ont posé les bases du statut photographique : reconnaissance du droit d'auteur pour l'un, la photo comme œuvre d'art pour l'autre ou comme document pour le dernier.
Très vite, des images capturent le regard. Et avec elles, une question s'impose : peut-on véritablement tout montrer ? La photographie est continuellement soumise au critère de l'acceptable et de l'inacceptable. Selon les cultures et le temps, la réceptivité peut être violente ou tranquille. C'est la fragilité de cet art qui s'annonce, a priori, comme un langage universel.
Le nudisme, mode de vie à choix personnel, ne peut-il pas être photographié sans être accusé de pédophilie ou de pornographie, notamment lorsqu'il s'agit de familles avec parents et enfants naturistes ?
Tout au long de l'exposition, il est donc question de tels cas de consciences collectives, de convictions personnelles, et de points de vue, mis en images par le travail des photographes, jonché d'obstacles juridiques et éthiques.
Dans un monde saturé d'images, " Controverses " rappelle que la photographie est un art fragile, sans cesse confronté aux problèmes de droit et d'acceptation morale. Aujourd'hui encore, de nombreuses images d'un réalisme sanglant ne connaîtront pas les papiers glacés des magazines (par exemple, les photos de Lady Diana dans la voiture où elle a trouvé la mort).
Commençons par les frites...
Votre patience récompensée
vendredi 13 novembre 2009
Début du week-end
Enfin le week-end. La semaine n’a pas été trop chargée puisqu’elle a été ponctuée par un jour férié mais, quand même ,nous sommes heureux d’être déjà à la fin de cette semaine. Une raison particulière ? Oui et même des milliers. D’abord nous allons passé le week-end avec Dimitri que nous n’avons pas revu depuis juin (le jour de ma fête d’anniversaire) et aussi parce que nous partons pour Bruxelles dès demain matin…
Vous aurez l’occasion bien sur de suivre notre balade en Belgique (en temps réel si notre hôtel est équipé en Wifi et sinon dès dimanche soir).
Nous retournons au Novotel de la Tour Noire pour profiter de la superbe piscine, de la cascade d’eau, du sauna et du hammam et parce qu'il est idéalement situé à deux pas de la Grand Place.
Au programme, une visite guidée de la ville pour Dimitri qui ne connait pas du tout, un parcours à la découverte des façades peintes aux couleurs des héros de la BD belge, une exposition de photos qui ont provoqué la polémique, le musée Magritte dimanche matin, peut-être un tour sur les puces de la Place du jeu de balle.
A très vite...
lundi 9 novembre 2009
Moments d’émotion à la Concorde
Les parisiens sont venus nombreux ce soir sur la Place de la Concorde pour fêter les 20 ans de la Chute du mur de Berlin.
Nous y étions.
Sur cette place emblématique, les façades de l'hôtel Crillon et du musée de la Marine étaient animées par des projections d’images avec cinq moments forts : les heures sombres de la division de l’Europe, la chute du Mur, l’Europe réunifiée, l’Europe en marche, vers la liberté. Un hommage a été rendu au violoncelliste Mstislav Rostropovitch venu jouer spontanément au pied des ruines du mur le 11 novembre 1989 afin de porter un message de paix. Vingt ans plus tard, c’est le virtuose Marc Coppey, disciple de Rostropovitch, et vingt-six violoncellistes, symbolisant chacun des pays de l'Union européenne qui ont interprété des œuvres de Fauré et de Bach.
Une centaine d’artistes, choristes et musiciens sont ensuite apparus sur les balcons du Crillon et de l’Hôtel de la Marine.
Enfin, moment symbolique, par un jeu de lumières, la porte de Brandebourg, symbole du lieu de fracture entre les deux Berlin, est apparu en lieu et place de la façade de l’église de la Madeleine.
Il y a 20 ans, le mur de Berlin tombe...
Approuvé par le Bureau politique du Parti, il est présenté au Comité central qui siège en séance plénière le 9 novembre 1989. Le porte-parole Günter Schabowski tient ensuite à 18 h une conférence de presse pour rendre compte des travaux du comité central. Cette conférence, qui réunit 200 journalistes du monde entier, est retransmise en direct à la radio et à la télévision.
Egon Krenz charge le porte-parole de présenter le décret à la presse. Schabowski emporte le document sans le lire.
La conférence de presse s' éternise. La salle s'assoupit, aux dires de témoins. Un correspondant italien, Riccardo Ehrmann, pose alors une question sur les voyages, sujet évidemment sensible entre tous. Les journalistes sortent de leur torpeur. Günter Schabowski hésite, bafouille. Il évoque alors le décret dont le secrétaire général lui a donné le texte. Il le découvre en le lisant à haute voix devant les journalistes et annonce : « Nous avons décidé de rédiger une réglementation qui autorise tout citoyen de la RDA à sortir du pays par les postes-frontière ». La torpeur quitte définitivement les journalistes et les questions commencent à fuser. « Les voyages privés pour l'étranger peuvent avoir lieu sans condition », explique le porte-parole. Question d'un journaliste « Quand cela entre-t-il en vigueur ? ». Le porte parole hésite, regarde autour de lui et ne trouve pas d'appui, il donne sa réponse : « Autant que je sache, dès maintenant ! ».
Dans les heures qui suivent, des milliers de personnes affluent vers les postes-frontières. La situation est confuse. A la porte de Brandenbourg, la foule craint un moment que les policiers (les fameux Vopos) et les militaires de l'Est fassent usage de leurs armes mais ils sont livrés à leur sort, et ils doivent improviser. Les officiers et les soldats qui servaient sur la frontière se trouvaient dans une situation impossible. Ils étaient confrontés à un scénario extraordinaire pour lequel ils n'avaient reçu aucune consigne puisque les ordres ne devaient arriver que le lendemain.
jeudi 5 novembre 2009
A méditer
« Il faut toujours savoir comment on va finir avant de commencer » de Gaulle, cité par A. Peyrefitte, C'était de Gaulle, t. 3, Fallois, 2000, p. 290. -
Henri Michaux disait quant à lui « Atteignez d'abord, vous approcherez ensuite »mardi 3 novembre 2009
Ce que je lis…
lundi 2 novembre 2009
Sarko radote…
Depuis que «Le Petit Journal» de Canal+ a relevé que le discours sur l'agriculture du chef de l'Etat était une reprise d'un précédent discours, d'autres répétitions ressurgissent...
Et si Nicolas Sarkozy avait déclamé plusieurs fois les mêmes discours, au nez et à la barbe de ses interlocuteurs ? Après le copié-collé de son discours sur l’agriculture en octobre, repris d’un discours dit plus tôt en février, et même inspiré d’un discours de septembre 2007, le blog www.bienbienbien.net s’est amusé à éplucher les archives de l’Elysée... à la recherche d’autres répétitions.
Bilan des recherches: il y a bel et bien plusieurs discours copiés-collés du chef de l’Etat. Notamment lorsqu'il s'adresse aux Français à l'étranger, lors de ses déplacements officiels, en Angola, au Tchad, en Tunisie, en Grèce, ou en République tchèque. Mais aussi à l’adresse des commerçants de Rungis, lors de la cérémonie de remise du muguet, les 30 avril 2008 et 2009. Et enfin sur l’emploi des jeunes, dans un discours datant du 15 juillet, dont «la structure est strictement la même que celle du discours du 24 avril», lit-on sur le blog, même «si les phrases sont parfois retravaillées».
Selon le linguiste Jean Véronis, interrogé par 20minutes.fr, cela pose des questions sur le président de la République: «Quand on contrôle, on ne fait pas ce genre des bourdes». Ce à quoi l'Elysée a rétorqué: «C’est normal. Il ne change pas d’avis tout le temps».