Facebook

 

Alors que Facebook semblait s’adresser à une élite un peu BCBG il y a encore quelques années, il semble que le site se soit (beaucoup) démocratisé. Je dois avouer que plusieurs fois, on m’avait demandé si j’avais une page et que ma réponse négative semblait décevoir ceux qui posaient la question. Pis, mon “non” semblait un temps m’exclure d’un mouvement qui emballait de plus en plus de personnes. Non seulement désormais, c’est moi qui pose la question “t’es sur facebook?” et qui fait la moue quand la réponse est négative. Mais en plus, je cherche des arguments pour engager de nouvelles recrues!

Alors une fois qu’on y est, on y fait quoi? D’abord, on y dit ce qu’on veut bien y dire! Donc ce n’est pas la peine de crier au loup sur la violation de la vie privée! Tout est sous contrôle de l’utilisateur. Un commentaire ne me plaît pas, me parait indiscret ou complètement à coté de la plaque, celui qui reçoit le message ET celui qui l’a écrit peuvent effacer. Même l’inscription ne nécessite qu’un email, un nom et un prénom! Eviter les pseudos, sinon personne ne vous retrouvera. Et mesdames, n’oubliez pas que vous aviez un autre nom quand vous n’étiez pas mariées, pensez à le mettre avec votre nom d’épouse.

Le site est très ergonomique et son utilisation est assez intuitive. Actualité de vos contacts à gauche. Demandes diverses et publicités à droite. Options en haut. Mises à jour, modifications etc en bas à droite. Applications en bas à gauche. L’univers visuel est assez basique mais l’intérêt du site étant vraiment ailleurs, cela n’a que peu d’importance.

Et une fois qu’on a raconté sa vie (ou au moins ce qu’on veut bien en dire), les deux utilités essentielles à mon avis sont: d’abord la recherche d’anciens amis, collègues ou camarades. Cela a porté ses fruits dans mon cas et je suis heureux de pouvoir parler à nouveau à Laurent, Céline, Philippe, Catherine, Nancy ou encore Laura (entre autres). Ensuite, le site propose de nombreuses “applications”. Ces applications, souvent présentées sous forme de jeux, ont l’avantage d’entretenir les contacts que tu as dans ton répertoire. Des amusements qui permettent faire vivre tout ce tissu de contacts qui est créé. Et certains jeux peuvent donner lieu à des conversations ou des '”mises au point” (gentilles). En même temps, pour les gens que tu as perdu de vue depuis longtemps, cela permet de les (re)découvrir, tout simplement.

On peut très vite en devenir accroc, mais il est évident que l’on peut s’en passer facilement… quelques jours… mais pas plus!! Car on aime bien savoir ce que les autres “font en ce moment” ;-)

Alain BG

Le Château de Maffliers

Nous passons la soirée de Saint-Valentin dans cet hôtel-château Novotel aux portes de Paris (dans le 95 à 20 mn de l'Aéroport de Roissy, à 18 km au Nord de Paris et à proximité de L'Isle Adam).

Nous y sommes à 19 heures.

Nous prenons rapidement possession de la chambre. Angélique, la chef de réception et qui est une ancienne collègue d’Alain, nous a laissé un petit cadeau. Une délicate attention que ces chocolats Lenôtre, “petites douceurs pour nous accompagner durant le séjour” comme elle nous l’a si gentiment écrit.

Repas de la Saint-Valentin dans un des salons du château après un verre au bar. Le repas est délicieux même si il manque un peu d’invention. A noter quand même les entrées dont un étonnant pressé d’artichaut façon barigoule, pétale d’aiguillette de canard séchée et carotte grillée au carvi.

Soirée tranquille dans la chambre. Une bonne nuit de sommeil sans être dérangés par Chloé.

Le petit déjeuner est copieux. Nous enfilons les maillots de bain pour nous détendre dans la piscine. L’eau est un peu froide, le sauna est neuf et bien agréable.

11 heures, le temps de rentrer. Discussion avec Angélique à la réception. Elle nous fait le check-out et nous rentrons sur Meaux.

France – Ecosse au Stade de France

Aujourd’hui nous sommes les invités de la GMF pour assister au match France Ecosse qui se déroule au Stade de France.

A 13 heures, nous sommes à l’Usine. Nous sommes accueillis dans un salon privé. On nous remet nos billets (110 euros la place !!). Dans d’autres salles, le repas de la Fédération Française de Rugby; Pour nous, Open bar et champagne à volonté. Le buffet est succulent : foie gras (à la mangue, au vin rouge ou nature), brochette de Saint-Jacques cuite dans un bouillon, petit-fours et verrines…

A 15 heures 30, nous sommes au Stade de France. Nous sommes très bien placés, en face, de la tribune d’honneur.

A 16 heures, les hymnes retentissent. La Marseillaise nous donne encore la chair de poule… Le match peut commencer.

Les Bleus ont évité l'humiliation qu'au fond de lui-même leur entraîneur redoutait. Mais les images furtives de Marc Lièvremont affichées sur le grand panneau du Stade de France l'ont dit plus clairement que tous ses discours d'après-match: le manager du XV de France n'en a pas mené large tout au long de cette purge de rencontre infligée à un public qui aurait pourtant eu bien besoin d'un rugby plus calorifique. Au final,nous avons eu droit à un festival de maladresses, de ratages, d'embarras et d'hésitations, c'est à qui se sera montré les plus indigent.

Le match se termine sur une victoire sans éclat de 22 à 13.

Nous quittons le stade rapidement, croisons Jean-Marie Messier et Philippe Seguin.

Un dernier verre de Champ’ (un seul ?!) à l’Usine et quelques douceurs, nous repartons vers 18 heures pour la suite de notre séjour en amoureux.

Week-end “tv au chaud”

Samedi et dimanche, nous avons découvert la série Pushing Daisy; C’est une série qui a été créée en 2007 par Bryan Fuller. Elle était passée sur Canal+ mais comme nous n’avons pas de décodeur… nous l’avions manquée.

L’histoire est géniale : Depuis l'enfance, Ned sait qu'il a un don un peu spécial. Il peut, très brièvement, ramener les gens à la vie (mais aussi les animaux, puisqu’il a ressuscité son chien). Adulte, il est devenu un fantastique pâtissier passant son temps libre à aider son seul ami, un détective privé, dans ses enquêtes. Ramener à la vie des victimes peut en effet être utile pour découvrir les causes de la mort et ramasser les primes offertes par les compagnies d’assurances vie.

Mais le jour où Ned ressuscite son amour d'enfance et que cette dernière reste "vivante", tout se complique puisque s'il venait à la toucher une nouvelle fois, elle partirait définitivement...

Filmée volontairement à la manière d’Amélie Poulain, les références à d’autres films ou séries sont nombreuses. La musique, les couleurs saturées donnent à cette série un coté tout à fait sympathique. Nous recommandons.