Les valises ont été difficiles à faire. En fait, tout le monde autour de moi me trouve chanceux et moi, soit je ne réalise pas vraiment ma chance, soit je suis trop lucide : même si les palmiers sont au rendez-vous et que le soleil donne (comme dit la chanson), j’y vais quand même pour bosser, je pars seul et pas en amoureux (ca change quand même les choses) et aussi il va falloir que je me tape 50 heures d’avion en moins d’une semaine…
Tout ca permet de relativiser ce que d’autres appellent de la chance. Il n’en reste pas moins que je suis très heureux qu’après seulement un mois dans le service, ce soit moi qui puisse partir.
Me voilà finalement à l’aéroport quasi désert à cette heure-ci prêt à embarquer…
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