mercredi 30 juin 2010

Emotions fortes et casino

Notre première nuit à Las Vegas sera au Stratosphère. Cet hôtel est situé à extrémité du Strip sur Las Vegas Boulevard. Nous avons choisi cet endroit car, de la tour panoramique nous aurons une belle vue de la ville et qu'au sommet, il y a trois attractions à couper le souffle.

En réservant par Internet, nous bénéficions d'un pass pour 2 attractions. C'est une belle économie puisque le prix d'entrée de la tour est de 10$ et que le prix d'une attraction est de 12,50$.

Ici, la chaleur est accablante. Impossible, en journée, de rester dehors en journée. Il fait pas moins de 40°C..

En début de soirée, nous décidons d'aller au sommet de la tour. Elle fait 108 étages soit 345 mètres de haut et ressemble plus à un château d'eau coiffé d'une plate forme d'observation circulaire.

La coupole abrite un restaurant panoramique et une terrasse qui permet de voir l'immensité de la ville éclairée au milieu du désert.

Trois attractions ont été installées au sommet de la tour.

Xtream entraine les visiteurs dans une chute vertigineuse le long d'une rampe mobile suspendue dans le vide.

Nous ferons les deux suivantes:

Big shot nous a propulsé à 72 kilomètres/heure sur une colonne métallique de 50 mères installée au sommet de la tour. Sur cette antenne, sorte de pointe de fusée dans le ciel, ont peut ressentir les sensations fortes des astronautes de la Nasa. Fermement installés sur notre siège, on monte et on descend trois fois comme sur un siège éjectable. Avant de monter dans l'attraction, Alain n'a pas vouu regarder ce qu'il allait vivre quelques minutes après être assis sur le siège. Aussi, il a bien été surpris et il a beaucoup crié !

Insanity est la dernière attraction qui a été installée. Il s'agit d'une balançoire qui tourne à 42 miles/heure au dessus du vide. Forte impression lorsqu’on se retrouve à l'horizontale à plus de 300 mètres du sol. Là Alain n'a pas du tout crié. Il est resté cramponné à son fauteuil. Un mélange de stupeur, d'évanouissement, la tête qui tournait en même temps que la balançoire et les vraies sensations d'un bon vertige.

Définitivement, Alain est masochiste (mais courageux) puisqu'il sait qu'il a le vertige et s'évertue à l'affronter fermement.

Nous terminons notre soirée devant une machine à sous. Nos 28$ de mises nous ont permis de jouer presque 2 heure 30. Nous ne sommes pas plus riches ni plus pauvres. Nous avons bien ri.

La machine permettait de multiplier nos gains si sur les 5 rouleaux apparaissait des épis de mais ou bein au moins,sur 3 d'entre eux, des poules. L'apparition des poules tant attendues permettait de gagner des parties supplémentaires... Heureusement que les américains ne comprenaient pas Alain qui criait à chaque fois qu'il lançait les rouleaux «  des poules , du mais !, des poules, du mais !». Le jackpot progressif de 9700,00$ n'était toujours pas tombé quand nous avons quitté notre siège à 1 heures 30 du matin.

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