dimanche 7 décembre 2008

Périple dans les rues d'Hurghada

Parce qu’il faut organiser notre semaine et prévoir nos excursions, nous décidons de nous rendre dans l’agence que nous avons repérée sur internet. Périple qu’il faut prendre le temps de raconter.
Nous avons fait l’erreur de ne pas relever le nom de la rue de l’hôtel et nous sommes partis « la fleur au fusil » pensant que c’était pourtant simple à trouver pour un taxi local. Le premier taxi (il y en aura plusieurs…) ne connaît pas le Marmara hôtel. L’agence se situe en face. C’est mal parti pour nous. Comme le taxi ne sait pas où aller, nous lui demandons de nous arrêter au Mac Do (point central pour les touristes). Nous demandons à plusieurs personnes et même dans un hôtel et personne ne connaît. La palme revient au vendeur de l’agence AVIS qui refuse de nous renseigner et nous précise clairement qu’il est un loueur de véhicule et qu’il ne travaille pas pour les agences.
Finalement, nous entrons dans un hôtel, et grâce à un Cyber, nous retrouvons le site français et l’adresse de l’hôtel Marmara à Hurghada. Le second taxi nous mènera à bon port. Je passe sur les interminables palabres pour négocier le prix de la course ; les compteurs ne semblent pas être utiles en Egypte.
L’agence est fermée, elle est en travaux. Un ouvrier est assis à l’intérieur. Tout ca pour ca ! Un jeune homme assis devant un magasin à coté nous interpelle. C’est Tamer, le vendeur qui parle français et que les blogs indiquent comme étant un excellent interlocuteur.
Après quelques discussions, nous optons pour une journée en bateau pour découvrir les récifs coralliens et l’Ile de Giftun, un voyage en avion et la découverte du Caire et une excursion à Louxor. L’agence s’occupe de tout y compris d’aller nous chercher à l’hôtel. Ouf, plus besoin de négocier avec les chauffeurs de taxi.
Au retour pour l’hôtel, un chauffeur commence à nous embrouiller en nous demandant d’échanger de la monnaie, en fait, des euros contre des livres égyptiennes. Les discussions durent le long du trajet, il en profite pour négocier la course qui passe, au fil du temps, de 150 LE à 40 LE pour deux. Le taxi n’en fini pas de prendre des rues, des avenues et il s’arrête au final devant l’hôtel BELLA VISTA. Bien que nous expliquions au chauffeur que nous sommes à l’hôtel AQUA VISTA, il ne veut rien savoir et s’arrête là. Il repart avec 20 LE et nous gardons ses 4€. Nous filons et attrapons un taxi qui nous emmène à bon port pour 20 LE.

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